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Recherche par mot-clé: LITTÉRATURE FRANÇAISE

13645 résultats. Page 462 sur 683.

Lu par : Michel Belon
Durée : 3h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21761
Résumé:Evariste, artiste-peintre singulier, se rend au bord du lac du Bourget. Il veut peindre son ultime tableau. Pourtant, une fois devant sa toile vierge, il est comme impuissant. Ce trouble le renvoie à son histoire dont on devine l'épaisseur et les heures sombres. Mais ce séjour est aussi l'occasion de rencontres peu communes qui transformeront Évariste et surtout les personnes qu'il côtoie. Son regard différent, son appétit du monde et sa capacité d'émerveillement révèlent en Évariste une profonde humanité.
Durée : 20h. 59min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 23533
Résumé:Jacques-Emile Blanche, fils du célèbre docteur parisien Émile Blanche, fut l'admirable portraitiste des grandes figures du XXe siècle: Proust, Joyce, Stravinski et tant d'antres... L'approcher, c'est découvrir l'œuvre multiforme d'un écrivain, d'un mémorialiste et d'un critique de son temps, attentif à toutes les inventions artistiques et littéraires, et même aux avant-gardes. Sa curiosité le pousse à s'intéresser particulièrement au monde anglo-saxon. Ses relations sont. innombrables: Virginia Woolf, Henry James, D. H. Lawrence, Thomas Hardy, George Moore, James Joyce avec lequel il s'entretient longuement. Il peint les visages d'hommes encore inconnus: Proust, Gide, Barrès, Couteau, de femmes aussi: Colette, Anna de Noailles. Certains reviendront sous son pinceau, d'autres s'y ajouteront: Mallarmé, Valéry, Claudel, Bergson, Rodin, Max Jacob, Maurice, Montherlant, Giraudoux, Morand, Drieu La Rochelle, Radiguet, René Crevel... Des musiciens: Debussy, Poulenc, Darius Milhaud, Arthur Honegger. Des danseurs enfin: Nijinski, Ida Rubinstein. Blanche fut aussi un peintre de paysages de Normandie ou d'Angleterre et d'atmosphères d'intérieurs, qui révèlent les nombreuses facettes de son talent. Dans cette première biographie très documentée et richement illustrée, qui s'appuie notamment. sur le journal inédit de Blanche ainsi que sur sa correspondance, Georges-Paul Collet. fait revivre cette vie hors du commun, marquée par la rencontre de géants de la littérature.
Durée : 6h. 7min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 23203
Résumé:Le coup de tonnerre littéraire qu'a provoqué La Vie sexuelle de Catherine M. révélait le regard singulier que l'auteur portait sur son corps et sur sa vie. Aujourd'hui, elle raconte son " autre vie ", celle où s'effondre de manière étrange et imprévue un pan de son existence, cette crise traversée dans un mélange de rêves et de déchirements. Jour de souffrance est un défi d'écrivain : à la fois le prolongement d'une oeuvre puissante et son contraire implacable, maîtrisé et saisissant.
Durée : 10h. 17min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 23366
Résumé:A l'aube du 18 mars 1955, le paquebot à bord duquel le narrateur était monté quinze jours auparavant à Buenos Aires mettait le cap sur Naples. Il allait avoir vingt-cinq ans lorsqu'il entreprit ce voyage - qu'il voulait sans retour - les poches vides, mais fort d'une double conviction : son destin l'attendait en Europe, et - c'était là sa devise - pour tenir debout, il fallait apprendre à tomber. Auto-fiction" d'un moraliste autant que récit picaresque peuplé de personnages hors du commun, ce livre nous entraîne des bas-fonds de Naples à Rome, où l'auteur fait longtemps l'expérience de la faim ; de l'Espagne noire de Franco - où il restera quelques années, toujours talonné par la misère - à Paris où il éprouve que le voyage, enfin, s'achève. Sans soupçonner qu'un autre l'y attendait qu'il effectuera à son insu : le lent passage de sa langue d'enfance à celle de son pays d'élection. Et tout au long de ce parcours, les figures tutélaires de la vie d'un homme se redressent, éveillées par les soleils de sa mémoire."
Lu par : Claude Pineau
Durée : 35h. 16min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 25509
Résumé:" Né " républicain - en plein Bocage vendéen ! - en 1841, Georges Clemenceau dut, tout jeune, combattre le pouvoir issu du 2 Décembre. Jusqu'à sa mort (1929), il garda de cet apprentissage la conviction que la vie publique était une lutte : lutte pour consolider la République quand d'aucuns prêchaient un modus vivendi avec ses adversaires, lutte pour la laïcité, lutte pour Dreyfus, lutte pour renforcer l'armée quand la paix paraissait à ce prix, lutte enfin pour la victoire quand la guerre devint inévitable. Ni l'intérêt personnel - il refusa plusieurs fois le pouvoir à des conditions qui ne lui convenaient pas - ni l'idéologie - il évolua de l'extrême gauche vers le " centre " et s'opposa, lui l'athée convaincu, aux excès de l'anticléricalisme - ne le guidèrent jamais. La République et la France s'identifiant à ses yeux, il entendait les fortifier et non les diviser. Passionné, orgueilleux, d'une lucidité terrible sur les hommes, dur, brutal à l'occasion, il ne cessa, par le verbe comme parlementaire (élu de Paris, puis du Var), par la plume comme journaliste, écrivain et patron de presse, d'appeler à la vigilance et à l'effort. Et quand, en 1917, tout parut perdu, quand les politiciens et les généraux routiniers eurent échoué, il fallut bien se tourner vers le seul homme qui ne fût pas compromis dans les expériences antérieures, le seul aussi dont la combativité et l'ardeur fussent inentamées en dépit de l'âge - soixante-seize ans ! - : Clemenceau. C'est lui, on le sait, qui mena le pays à la victoire, mettant un terme à d'indicibles souffrances. A cet homme exceptionnel - au jeune médecin des pauvres, au maire de Montmartre sous la Commune, au tombeur de ministères ", au directeur de journal qui trouva le titre J'accuse ! pour le célèbre article de Zola, à l'ami de Monet, au voyageur, à l'amoureux, à l'auteur de Démosthène et de Au soir de la pensée, au collectionneur de Kogos japonais, au duelliste et à ses mille autres facettes -, Jean-Baptiste Duroselle a consacré un ouvrage non moins exceptionnel, foisonnant d'informations nouvelles admirablement maîtrisées - une biographie définitive.
Lu par : Nicole Roche
Durée : 3h. 57min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24636
Résumé:Ça commence sur une plage d’été, bondée, du temps on y allait en foule, avec ses criailleries, sa torpeur d’ennui trompé en masse. Tout va bien, comme toujours. Vers six heures, deux coups de vent - les ballons qui s’envolent, les piquets et fanions qui sifflent, les nappes des paillotes qui se soulèvent. Et puis, rien. Deux heures plus tard, c’est la Rafale. Tout le sable soulevé. Jusqu’au dessus de la falaise d’immeubles d’été, jusqu’aux parkings et routes où fuiront, après le souffle qui a tout aspiré, les marées de voitures en panique. Dans les bars, les rues, les halls d’hôtels, les gens se sont engouffrés, n’entendant même pas que leurs cris ne résonnaient plus qu’en eux. C’était comme un écho qui aurait siphonné le son, se dira-t-on plus tard. Et certains, les uns partis vers les dunes et d’autres réfugiés dans une villa abandonnée, sont assez loin de tout ça pour remarquer que le ciel paraît se tendre inexorablement, lisse, en rideau peu à peu tiré vers un fond qui là-haut s’éclaire jusqu’à l’aube, comme si apparaissait l’espace derrière… derrière le ciel, pour le dire à l’humaine. Pendant ce temps, bien sûr, les êtres continuent leurs petites intrigues; mais, dépassés, ne comprenant rien à "ce qui arrive", ils communiquent et perçoivent comme jamais.
Lu par : Manon
Durée : 2h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 29518
Résumé:Galerie de rencontres imaginaires ou non, tour à tour drôles, émouvantes, inquiétantes ou révoltantes.
Durée : 1h. 29min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 24239
Résumé:« À six ans, jouer l’ignorance quand on a parfaitement compris. Mourir n’empêche pas un père de revenir à la maison. Mourir est un acte comme un autre. Quelle disparition l’empêcherait de dormir, de parler et de manger? Tout ça n’avait aucun sens dans mon esprit. J’ai imaginé que mourir signifiait au fond qu’il vivait encore, mais dans une autre famille, avec une autre femme et d’autres enfants. C’était facile de ne pas mourir; ouvrir les yeux, les maintenir écarquillés et marcher sans s’arrêter.»
Lu par : Denise Spendeler
Durée : 6h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22681
Résumé:Voici le premier roman jamais écrit sur l'extraordinaire aventure des " Falashas " : ces juifs éthiopiens transportés vers la Terre promise, à l'initiative d'Israël et des Etats-Unis. Seuls juifs parmi les noirs d'Afrique, seuls noirs parmi les juifs du monde, ils seront des milliers à bénéficier de l'" Opération Moïse ". Nous sommes en 1984, dans l'un de ces camps mouroirs du Soudan où sont entassés des Africains originaires de vingt-six pays frappés par la famine. Pour sauver la vie de son fils de neuf ans, une mère chrétienne le contraint à prendre la place d'un enfant juif décédé. Il arrive en Terre sainte, où on lui donne le prénom de Schlomo. Déclaré orphelin, il est adopté par une famille francophone de Tel Aviv. Il grandit avec la peur au ventre, taraudé par la culpabilité de sa double imposture : ni juif, ni orphelin... mais toujours noir. Il découvrira l'amour, la culture occidentale, la judaïté, mais aussi le racisme, et la guerre dans les territoires occupés. Il deviendra tout à la fois juif, Israélien, Français et Tunisien... Un homme. Mais il n'oubliera jamais sa vraie mère que, secrètement et obstinément, il rêve de retrouver un jour...
Durée : 22h. 39min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 26343
Résumé:L'auteur de Philippe le Bel s'attache aujourd'hui à ce long siècle qui suivit la mort des derniers Capétiens. Mais fallait-il écrire l'histoire d'une guerre? Jean Favier montre que ce conflit n'est pas seulement phénomène en soi, il exprime les mouvements profonds qui animent la société médiévale: par-delà les batailles _ où il arrive que le sort d'un royaume se joue en quelques quarts d'heure _, la guerre devient facteur déterminant des infléchissements de l'histoire dès lors que le noble et le clerc, le bourgeois et le paysan pensent et se comportent en fonction de cette guerre. Qu'elle soit réelle ou supposée, proche ou lointaine, voilà qui change peu cet horizon mental qu'est la guerre pour cinq générations qui ont su qu'elle faisait partie de leur vie. La guerre de Cent Ans a été le lot commun des individus comme des groupes humains, celui des féodaux encore pris dans leurs fidélités contractuelles, celui des officiers royaux découvrant le service de l'Etat à mesure qu'ils le conçoivent, celui de maîtres de l'Université que leurs engagements intellectuels mènent à des conflits qui n'étaient point les leurs. En un étonnant contrepoint où passent les visages renouvelés d'un Charles le Mauvais, d'un Bertrand du Guesclin, d'un Pierre Cauchon et de bien d'autres, Jean Favier fait jouer les thèmes divers qui s'appellent le nationalisme naissant, la réforme de l'Etat et l'unité de l'Eglise, le prix du blé et le salaire du maçon, l'influence parisienne et la force provinciale, le métier des armes et la volonté de paix.
Lu par : Roger Messié
Durée : 19h. 20min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 23354
Résumé:On sait l'ampleur des pillages des collections, d'art en France par l'occupant nazi. Nul n'ignore plus l'existence des listes Otto - recensant les auteurs, juifs ou antinazis, qui devaient être à jamais bannis de tout catalogue - et que le syndicat des éditeurs français appliqua dès les premières heures de l'Occupation avec un zèle certain. Personne, avant Martine Poulain, ne s'était inquiété du devenir des bibliothèques dans la France de 1940 à 1944. Une France qui est à la fois celle de l'occupant nazi et celle du régime de Vichy. A la différence des archives des ministères (Guerre, Affaire, étrangères, Intérieur, justice) et des musées, peu de bibliothèques publiques sont l'objet du pillage par l'occupant, à l'exception des alsaciennes et des mosellanes, germanisées et propriétés du Reich. Le vol de masse, nazi mais aussi vichyste. frappe, dès juin 1940, les bibliothèques institutionnelles - juives, slaves, maçonnes - mais aussi privées, celles des premiers ennemis du Reich (les grandes familles juives, les Allemands exilés, les hommes politiques du Front populaire). Puis le pillage accompagne ordinairement les rafles. Plus de dix millions de livres prennent le chemin de l'Allemagne. Martine Poulain a constitué une première liste des personnes spoliées de leur bibliothèque - près de 1 700 noms. Le régime de Vichy, de son côté, surveille les livres, les bibliothèques et les lecteurs, sous la houlette d'une Bibliothèque nationale devenue le parangon de l'ordre nouveau, instrument de la collaboration d'Etat aux mains de Bernard Faÿ. Ce dernier mène une lutte obsessionnelle contre la franc maçonnerie sous couvert d'un " Musée des sociétés secrètes ".
Durée : 3h. 5min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 24789
Résumé:Présentation des arcanes du palais Bourbon, de ses règles et de son fonctionnement à travers les idées reçues qui lui sont associées : les députés sont trop payés et bénéficient de multiples avantages, ils cumulent les mandats, l'Assemblée nationale est toujours vide et les députés ne travaillent pas, la permanence est le seul contact du député avec la société, etc.
Durée : 3h. 13min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 23502
Résumé:Café, thé, chocolat, riz, jus de fruits, épices mais aussi jeans, tee-shirts, couettes, ou encore gel douche, des centaines de produits du quotidien, souvent distribués en grande surface, sont estampillés "commerce équitable". Or, devant la multitude des marques fleurant bon l'alter-mondialisme et l'exotisme bio, il arrive au consommateur de douter : l'étiquette "commerce équitable" ne serait-elle pas une invention marketing destinée à glisser quelques kilos de bonne conscience dans les rayonnages des supermarchés ? Joaquin Munoz, directeur général de Max Havelaar - France, organisation non gouvernementale dont le logo est aujourd'hui présent sur plus de 2000 produits, répond sans langue de bois aux multiples interrogations suscitées par cette nouvelle utopie concrète. Enjeux et impacts mais aussi polémiques et avenir, cet essai pratique et dictatique décrypte le commerce équitable pour nous permettre d'en faire une réalité durable.
Durée : 4h. 39min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 23241
Résumé:Il était huit heures moins dix quand j'ai reçu le premier coup de fil. C'était un journaliste de RTL. Il m'annonçait avec ménagement que, selon une information officieuse, Jacques Martin serait décédé dans la nuit. «Nous vérifions. Si la nouvelle se confirme, malheureusement, est-ce que je peux vous rappeler pour que vous disiez quelques mots sur votre ami ?» J'avais à peine raccroché que le téléphone sonnait à nouveau : «C'est Europe 1. L'agence France Presse vient d'annoncer la mort de Jacques Martin. Vous pouvez rester en ligne ? Nous aimerions vous interviewer en direct dans le journal de huit heures. - Oui, oui, bien sûr», répondis-je. Mais que dire en de pareils moments ? J'étais profondément triste, mais pas vraiment surpris. Le véritable choc, je l'avais eu un mois auparavant. Troublé par une sorte de pressentiment, j'avais subitement décidé d'aller voir Jacques à l'hôtel du Palais à Biarritz, où il était venu se réfugier après sa séparation d'avec Céline, sa dernière compagne. En le découvrant dans son fauteuil roulant, le corps amaigri par la maladie, le visage émacié et le regard fixe, j'avais difficilement retenu mes larmes. Il ne parlait pratiquement plus mais il avait fait comprendre à son infirmière qu'il souhaitait que je reste déjeuner avec lui et avec David, son fils aîné, venu lui rendre visite. Il faisait beau. Nous nous sommes installés au bord de la piscine, où s'ébattaient ses deux derniers enfants, Clovis et Juliette, en compagnie de leur nounou. Autour de lui, nous affichions tous un air enjoué pour ne pas gâcher ces moments précieux et apparemment heureux. Mais il n'a pas touché à son assiette. Il semblait déjà très loin de nous. En le quittant, ce jour-là, je savais que je l'embrassais pour la dernière fois. Au moment d'intervenir à l'antenne, pourtant, je préférai ne pas évoquer ces images douloureuses qui me hantaient, pour ne rappeler que les plus beaux souvenirs de notre longue amitié.
Durée : 2h. 22min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 23462
Résumé:On a beaucoup dit que l'éducation donnée aux enfants du siècle dernier les a chargés d'un sentiment permanent de culpabilité aux conséquences désastreuses. On a dit aussi qu'il fallait éduquer chez l'enfant la capacité de prendre des responsabilités, tout en bannissant chez lui toute idée de faute. Mais aujourd'hui, où en sommes-nous de cette éducation qui semble avoir évacué la morale et les interdits ? Que disent parents, voire grands-parents, devant ce cadre nouveau ? À partir d'une longue expérience de thérapeute auprès des enfants, Nicole Fabre s'interroge : et si la moindre insistance mise aujourd'hui sur la culpabilité en faveur du sens de l'autonomie n'était pas une chance, une vraie possibilité pour éduquer nos enfants en faveur d'un nouveau sens moral, plus apte à favoriser leur liberté et leur épanouissement ?
Durée : 3h. 22min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 24523
Résumé:Le terrorisme moderne n'est pas né d'une perversion absolue. C'est même le premier pays démocratique, la France de la 1re République, qui a inventé le terrorisme politique en 1793-1794. Et de nos jours encore, les démocraties jouent un rôle essentiel dans la propagation du terrorisme à l'échelle mondiale, ne serait-ce qu'à travers leurs médias et certaines actions de leurs services secrets. Cet ouvrage propose un grand nombre de déclarations et de documents dont beaucoup sont inédits en français. Des Tupamaros uruguayens jusqu'à Ben Laden et aux Brigades rouges italiennes, les documents reproduits ici apportent de véritables arguments à une critique de fond des politiques terroristes. En commençant par les distinguer : Terreur révolutionnaire, terrorisme d'Etat, terrorisme de libération nationale, terrorisme fondamentaliste... Pour éradiquer le terrorisme, il va falloir livrer non pas une guerre, comme l'a voulu George W. Bush, mais un combat politique, incluant l'économie, le social, l'éthique même. Les armes seules n'y pourront rien.
Lu par : Gisèle Vincent
Durée : 1h. 59min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 21701
Résumé:Dans deux minutes, l'antenne. Moment délicat où l'invité se décompose. Ses mains tremblent. Le faire rire. Où ai-je mis ma fiche ? Le distraire. Lui dire deux mots pour qu'il sente que j'ai compris ce qu'il vient défendre. Tenter une question comme on trempe un orteil dans la mer. Faire une gaffe, renverser mon verre, bafouiller, qu'il sache que c'est permis. Essais de voix. je mets mon casque. Mon casque c'est ma maison, mon cocon. J'écoute fort, à l'intérieur du son. J'entends les fêlures de sa voix, son souffle. Tout s'entend, la voix mouillée, la voix qui tremble, celle qui sourit, qui réclame. Les plaintes les plus lointaines sont inscrites dans la voix et les rires de l'enfance. Toutes ces voix qui s'envolent, invisibles et réelles. Est-ce bien raisonnable de déranger un satellite pour nos élucubrations ? Surtout ne jamais se poser cette question avant une émission.
Lu par : Claude Garnier
Durée : 13h. 38min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 29471
Résumé:Septembre 1626. Après les complots et les drames qui ont secoué la Cour de Louis XIII, Floriane de Saint-Evy et Artus d'Ivreville se retrouvent. Dès lors, ils ne pensent plus qu'à vivre jusqu'à la déraison leur aventure passionnée, aventure si souvent contrariée par les aléas du destin. Ils ont confiance en leur avenir, en la magnanimité du roi qui a promis la grâce de Floriane accusée à tord de la mort d'un homme qui a voulu jadis la contraindre au mariage. Mais Artus, rappelé à la Cour, ne peut s'attarder auprès d'elle. La séparation est difficile, douloureuse. Seul l'espoir d'être bientôt réunis, définitivement cette fois, leur permet d'accepter cette nouvelle mais provisoire épreuve. C'est alors qu'un événement tout à fait imprévu vient brutalement briser leur rêve. Floriane doit fuir précipitamment, renoncer à tout ce qui était alors sa vie. Déchirée, désespérée, elle trouve refuge à Lyon, la grande cité brumeuse qui l'enserre bientôt dans un étau sans faille. Dans ces murs cependant, elle apprend lentement à revivre, à déjouer, meurtrie mais victorieuse, tous les pièges que la fatalité s'ingénie à lui tendre.
Lu par : Claude Garnier
Durée : 19h. 1min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 29467
Résumé:Dans l'atmosphère fiévreuse de la cour de Louis XIII, alors qu'un groupe de conspirateurs se dresse polir abattre le tout- puissant cardinal de Richelieu, surgit la flamboyante Floriane de Saint-Evy. Elle fait tourner les tètes, suscite les passions et provoque, malgré elle, des conflits sanglants. Mais son cœur ne bat que pour Artus d'Ivreville que les aléas du destin ne cessent d'éloigner d'elle... jusqu'au jour où un événement imprévu oblige la belle intrépide à renoncer à tout pour se réfugier à Lyon. Dotée d'une énergie exceptionnelle, la jeune femme décide alors de relever tous les défis.
Durée : 16h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 27573
Résumé:Aux premiers jours de décembre, Carole regagne sa vallée natale, dans le massif de la Vanoise, où son père, Curtil, lui a donné rendez-vous. Elle retrouve son frère et sa soeur, restés depuis toujours dans le village de leur enfance. Garde forestier, Philippe rêve de baliser un sentier de randonnée suivant le chemin emprunté par Hannibal à travers les Alpes. Gaby, la plus jeune, vit dans un bungalow où elle attend son homme, en taule pour quelques mois, et élève une fille qui n'est pas la sienne. Dans le Val-des-Seuls, il y a aussi le vieux Sam, pour-voyeur de souvenirs, le beau Jean, la Baronne et ses chiens, le bar à Francky avec sa jolie serveuse... Dans le gîte qu'elle loue, à côté de la scierie, Carole se consacre à une traduction sur la vie de Christo, l'artiste qui voile les choses pour mieux les révéler. Les jours passent, qui pourraient lui permettre de renouer avec Philippe et Gaby un lien qui n'a rien d'évident : Gaby et Philippe se comprennent, se ressemblent ; Carole est celle qui est partie, celle qui se pose trop de questions. Entre eux, comme une ombre, cet incendie qui a naguère détruit leur maison d'enfance et définitivement abîmé les poumons de Gaby. Décembre s'écoule, le froid s'installe, la neige arrive... Curtil sera-t-il là pour Noël ?